Je vivais à Pékin lorsque cette série a pris naissance. En travaillant sur l'oxydation, je voyais apparaître des paysages imaginaires : le bleu et le vert du cuivre me rappelaient l'océan, les lignes étaient semblables aux estuaires, aux vagues ou aux rivages. J'ai alors eu envie de peindre la mer, les arbres et le sable...

A la recherche d'images inspirantes, j'ai découvert les photographies prises par drone de Ben et Sév. Leur vision correspondait exactement à ce que je cherchais à créer. Ce fut un tournant décisif dans ma manière de peindre, de regarder la nature, de chercher à découvrir le monde. 

C'est là que tout à commencé.

A chaque série, tout recommence et  cette quête est toujours renouvelée, portée par les surprises que réserve la vision aérienne.